Monday, April 17, 2006

On pense que tout le monde pense la meme chose, quelques fois, bien si les gens pensent. Thoughts for a blog. by Daniel Abarca

Encore une journée écroulée un moment sauve, un autre perdu. En cet instant je me demande que deviens-je, qu’attends-je ? ce fut une journée agréable, mais a la fois sans grande productivité, sans grand intérêt. Mais encore, comment savoir quand est-ce qu’on a réussi a obtenir le plus possible de chaque minute, chaque seconde qui glisse entre nos mains. Le temps est si fragile, si pur et limpide. Il ne peut être possédé, contenu ni arrêté. Cette abstraction qui détermine tous les moments qui nous définissent et nous forment, les secondes qui nous permettent des comprendre, les minutes qui nous laissent écouter, les heures qui nous font réfléchir, les jours qui nous permettent de vivre, les mois qui nous font de grandir, les années qui nous poussent a mûrir.
Le temps est immuable et puissant a la fois. Il ne peut pas être compris, il sert de chagrin pour la plupart, de temps meilleurs ou de moments de peine, de malheur. Comment pet on concevoir une autorité si énorme sous un seul nom ? tic tac font les horloges. Dali avait bien raison, le temps, inconsistant, inconstant, intenable. Chaque moment de bonheur devrait s’arrête et chaque instant de chagrin devrait être oublie aussi rapidement possible, disent les plus naïfs.Mais alors, comment saurions-nous quels représenteraient le bien et le mal si nous n’avons vécu rien d’autre ? yin yang, l’équilibre des émotions permet la stabilité de l’esprit humain.même les plus résistants se retrouvent parmi les faibles quand il s’agit des sentiments les plus forts, tel l’amour et la tristesse. Les deux vont de pair dit-on. Sans doute. Et alors ? serait-il si mauvais que les deux aillent ensembles ? peut on rester éternellement sur une île de joie et amour, sans donner d’importance au monde qui nous entoure ? ne serait-ce pas une des décisions les plus dangereuses ? la temptation d’autres et de nouveautes compte comme une des sources pour l’amour. Si nous n’aurions aucun intérêt pour les autres, comment pourrions nous contraster ce que nous ressentons a l’instant si nous ne connaissons rien d’autre ? l’homme vivra t-il donc toujours dans l’incertitude de ses propres émotions ? peut être bien, ne s’agit-il pas la d’un détail de la vie ? la vie serait un bel ennui si on possédait l’assurance de tout savoir puisqu’il n’y aurait plus de nouvelles frontières a dépasser.

Tout retourne sur nous-même, nous correspond et a la fois nous est si étrange, si lointain, hors de notre portée. Faut il qu nous songions véritable a quoi faire de nos journées. Faut il les planifier pour en tirer le plus d’avantage possible ? en regardant par la fenêtre, je soupire en songeant a ces journées qui raccourcissent, rendent le temps invisible dans l’obscurité des nuits prématurées. Accélérons le pas pour parvenir a notre destination plus rapidement. Mais une fois la, sommes nous vraiment plus heureux ? ne sont pas les instants de solitude et de réflexion aussi, si ce n’est pas plus, précieux pour l’âme de l’homme ?
Quel plaisir d’accomplir le plus de tâches possible si ce n’est pas dans le but d’ensuite y songer, de philosopher sur ce que nous avons accompli pendant la journée.

Moi aussi. G.A.C.H.

Saturday, April 01, 2006

Phony Poetry

I am on tonight.

I most do nothing
And believe in the circular time
I should believe
That I am in constant pain
No more happiness, I wanted to be free
My heart is lonely now and I want to share it.
I wish I could hold you one more time.

My moment stops.
Have you realized about when I
Gazed at you, stared at you.
And have the time to hold
you for one more time.

We were playing bubbles
We didn’t care, we did care
well, I suppose we had
Hope you don’t change
in a bad manner of course I
want you to remain, stay.

I am on tonight.
No fighting.